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D’ordinaire, quand il vient à pleuvoir, beaucoup courent aussitôt se mettre à l’abri. Peu, en revanche, saisissent réellement l’opportunité. Avec un système de récupération des eaux pluviales, profiter de cette importante ressource naturelle gratuite est à la portée de nombreux foyers des Alpes-Maritimes et du Var !
En plus de favoriser une approche plus éco-responsable, un système collecteur avec cuve à eau de pluie permet déjà à des milliers de logements individuels de faire face aux étés particulièrement secs du Sud-Est. Voyons le sujet d’un peu plus près !
200 milliards de m³ d’eau renouvelable pleuvent sur la France chaque année. Au dernier relevé des données pluviométriques (2018), respectivement 5’807 et 4’242 millions de m³ de précipitations sont tombés sur les Alpes-Maritimes et le Var.
Ces chiffres renseignent assez bien sur l’intérêt véritable à trouver dans la récupération. Être au fait de ce volume de précipitations annuelles a de quoi faciliter la transition vers un système adapté, qui impacte doublement le facteur environnemental et socio-économique.
En réduisant le ruissellement d’une part, l’eau de pluie favorise le renouvellement des nappes phréatiques d’autre part et diminue la pression exercée sur les centrales de traitement des eaux usées.
Les risques d’érosion, de glissement des sols, et de remontée de nappes, particulièrement marqués dans les Alpes-Maritimes, s’amoindrissent eux aussi à mesure que l’eau de pluie est récupérée.
La collecte d’eau de pluie soustrait également beaucoup des polluants entraînés lors des précipitations, qui engorgent le réseau des eaux usées urbaines. Cette atténuation du volume à traiter permet conséquemment un réel dégonflement des coûts énergétiques du traitement en station d’épuration.
Si les exemples précités pointent tous en faveur de la récupération de l’eau de pluie, il existe en France une liste de réglementations et recommandations détaillant les conditions d’installation et d’utilisation d’un dispositif de collecte. Vous lirez notamment :
Récupérer et stocker l’eau de pluie pour usage personnel ne concerne que certains cas bien précis, malheureusement, soumis à conditions. Notez également que l’eau de pluie récupérée pour usage domestique ne peut entrer dans la consommation alimentaire : il est effectivement interdit de la boire, de l’utiliser pour cuisiner ou laver la vaisselle.
En soi, récupérer les eaux pluviales n’a rien de bien difficile : il ne suffit que d’avoir un système de collecte et de stockage adapté, fait d’un matériau solide idéalement capable de préserver l’eau d’une contamination aux métaux lourds et d’éviter la prolifération de microorganismes et d’insectes indésirables.
C’est dans une cuve ou une citerne, enterrée ou hors-sol et exempte de produit anti-gel, que l’eau de pluie doit être récupérée. Là encore, la loi donne des indications claires, qui restreignent l’utilisation du dispositif à un nombre limité de personnes :
Dans l’éventualité où, pour une utilisation en intérieur de l’eau, le réservoir d’eau de pluie devait être raccordé au réseau d’assainissement collectif, la loi oblige le propriétaire à en faire déclaration aux autorités concernées.
La législation en vigueur concernant l’utilisation d’une réserve d’eau de pluie en usage intérieur demande :
On ne répètera pas ici que l’urgence écologique oblige à une reconsidération de notre consommation d’eau. Chez O’Propre, nous préférons simplement proposer aux intéressés une gamme de cuves à eau de pluie en béton de dimensions variables.
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